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Juan Carlos Ferrero
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Thomaz Bellucci
 
Juan Carlos Ferrero
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188cm
Height
183cm
82kg
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73kg
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23 5월 2012
4 10월 2011
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13 2월 2009
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Zverev surclasse Fritz et rejoint les demi-finales à Rome Suite à l’hécatombe romaine, Zverev avance, au même titre que Tsitsipas, dans la peau du favori. Seul membre du top 5 encore en lice, il a parfaitement tenu son rang face à un Taylor Fritz trop peu consistant (6-4, 6-3 en 1h30). L’Allemand aime jouer en Italie. Sacré en 2017 et finaliste en 2018, il se rapproche, tout d’un doucement, d’un second sacre du côté du Foro Italico. Ce mercredi, il s’est montré intraitable au service (6 aces, 77% de première balle, 0 balle de break concédée) et très appliqué dans l’échange (20 coups gagnants, 4 fautes directes) pour largement dominé un Américain trop peu incisif (11 coups gagnants, 10 fautes directes). Porté par des frappes de fond de court de très grande qualité, notamment en revers, le joueur de 25 ans a breaké quand il le fallait pour rejoindre les demi-finales. Il y affrontera la sensation de la semaine, Alejandro Tabilo, tombeur de Novak Djokovic et Karen Khachanov. Au vu des éliminations prématurées et de la forme tonitruante d’Alexander Zverev et de Stefanos Tsitsipas, il se pourrait bien que les deux hommes se retrouvent en finale (ce qui constituerait déjà leur 16e duel, le Grec menait pour l’instant 10 victoires à 5).
Irrésistible, Collins rejoint les demi-finales à Rome  Depuis qu’elle a annoncé que cette saison serait sa dernière année, Danielle Collins développe un tennis de grande beauté. En effet, souffrant d’endométriose, l’Américaine ne semble pas pouvoir continuer à jouer sur le circuit après 2024. Opposée à Victoria Azarenka, Collins a déroulé son tennis pour s’imposer (6-4, 6-3 en 1h44). Qualifiée pour les demi-finales de Rome, pour la première fois de sa carrière, elle retrouvera une autre Biélorusse sur son chemin puisqu’elle fera face à Aryna Sabalenka (2e) pour une place en finale.  Bluffante, l’Américaine réalise une saison absolument mémorable. S’adjugeant 19 succès en 20 matchs, Collins compte déjà deux titres coup sur coup, remportés consécutivement, à Miami et Charleston. Le plus fou dans tout cela, c’est que sa seule défaite était survenue à Madrid, face à Sabalenka, sa future adversaire en demi-finale.   69e mondiale en janvier, Collins sera au pire 12e mondiale à l’issue du tournoi italien et s’affirme donc plus que jamais comme une candidate au titre partout où elle va.  Rendez-vous donc ce jeudi pour la 15e mondiale afin de savoir si elle peut aller chercher une nouvelle finale.
Djokovic, participant surprise à Genève ? Cette éventualité carrément comique il y a encore quelques jours semble devenir un peu plus crédible. En effet, comme le révèlent nos confrères suisses de Blick, le Serbe réfléchirait à une participation à l'ATP 250 de Genève afin d'accumuler un peu plus de matchs avant le début de Roland-Garros.   Il se pourrait que le numéro 1 mondial, toujours en quête de son premier titre de la saison, demande une invitation au tournoi Suisse. Auteur d'un début de saison très moyen, un tel choix lui permettrait d'engranger un peu plus de confiance en vue de la défense de son titre à Paris. Cela dit, 'Nole' n'a pas pour habitude de jouer un tournoi la semaine précédant un Grand Chelem, même s'il l'a fait une fois, en 2017. Cette année-là, il avait joué à Eastbourne avant Wimbledon.  Nos confrères suisses nous rappellent aussi que le 'Djoker' possède certains liens avec le tournoi, puisque Janko Tipsarevic, ami proche de Djokovic, est le beau-frère de Rainer Schuttler, co-propriétaire du tournoi Genevois.  Alors que le plateau du tournoi suisse est déjà très relevé pour un ATP 250 avec les présences de plusieurs joueurs de renom (Casper Ruud, Andy Murray, Nicolas Jarry, Taylor Fritz), le tenant du titre du prochain Roland-Garros pourrait constituer la cerise sur le gâteau.  Quoi qu'il en soit, la réponse sera très vite donnée puisque le tournoi n'a pour l'instant révélé qu'une de ses trois Wild-Cards (offerte à Andy Murray). Parmi les prétendants, on compte d'ores et déjà Matteo Berrettini, visiblement remis, mais aussi et surtout Grigor Dimitrov (10e), déjà sur place depuis son élimination à Rome.  Une chose est sûre, le Serbe n'a qu'à passer un coup de fil et il obtiendrait l'une des invitations restantes, au grand dam de, probablement, Matteo Berrettini.   Affaire à suivre…
Depuis mardi, la planète Tennis se divise sur le cas Thiem - Retour sur une polémique prévisible Roland-Garros aurait-il dû inviter Dominic Thiem ? C’est la question qui est sur toutes les lèvres depuis l’annonce des invitations pour Paris. Alors que l’Autrichien, double finaliste et quadruple demi-finaliste à Roland-Garros, a annoncé qu’il prendrait sa retraite à l’issue de la saison, le tournoi français a décidé de ne pas lui offrir d'invitations. Mais alors que la polémique enfle, une question se pose : Est-ce un vrai scandale ?  - Un choix pas vraiment surprenant Cette décision, bien que pas vraiment étonnante au vu des dernières éditions, ne fait pas l’unanimité. En effet, ce choix était assez prévisible. Si dans les années 80-90, il était assez fréquent d’inviter des joueurs étrangers, ce n’est plus le cas dans le passé récent du tournoi (à l’exception des invitations conventionnées avec les fédérations australiennes et américaines). Depuis 2003, seuls quatre joueurs étrangers ont été invités par le Grand Chelem parisien : Michael Chang (2003), Gustavo Kuerten (2008), Gaston Gaudio (2009) et Andy Murray (2020).  Parmi ces joueurs, trois avaient déjà été sacrés à Paris (Chang, Kuerten et Gaudio) et le dernier, Andy Murray, a une carrière encore plus impressionnante que celle de Thiem puisqu’il compte 3 titres du Grand Chelem, deux titres olympiques et a été numéro 1 mondial. Ainsi, le tournoi parisien a, depuis plusieurs années, choisi de privilégier les espoirs français aux invitations offertes à des joueurs étrangers ayant marqué de leur empreinte le tournoi. N’oublions pas que Schwartzman va lui aussi vivre son dernier Roland-Garros et n’a pas non plus été invité.  Une fois ce contexte général posé, on ne peut pas nier que ce choix reste matière à débats. D’ailleurs, depuis mardi, les réactions fusent sur les réseaux. Si certains prennent la défense de la fédération, d’autres crient au scandale. Des joueurs aux entraîneurs, en passant par les spécialistes et les journalistes, chacun y va de son petit avis.  - Des Français au soutien de leur fédération Plusieurs Français ont pris la parole pour justifier le choix fait par le tournoi. On pourra notamment citer Lucas Pouille, 229e cette semaine, qui, bien que privé d’invitation, a tenu à défendre le choix fait par Roland-Garros et la fédération. Il a ainsi déclaré : "Certes, il mérite, il a une carrière extraordinaire. Mais les jeunes qui sont entre la 110e et la 130e place la méritent également. Je trouve ça normal de les privilégier.” (propos relayés sur les réseaux sociaux).  Même son de cloche du côté de Quentin Halys. Le Français, 188e, a donné son point de vue sur les réseaux sociaux. Réagissant à une des publications qui a mis le feu au poudre, à savoir le tweet de nos confrères de Tennis Legend, Halys explique avec une certaine ironie : “Pourquoi ne pas crier au scandale à Vienne quand il ne donne pas de Wild Card à Lucas alors vu qu’il a gagné le tournoi déjà (en 2017) ?” Pour rappel, Tennis Legend avait réagi avec virulence à l’annonce des invitations, ce mardi : “Pas de Wild Card pour Dominic Thiem à Roland-Garros. On est quand même sur un immense manque de respect pour un joueur double finaliste du tournoi qui a juste été pendant plusieurs années le deuxième meilleur joueur sur terre battue derrière le Roi.” - Des spécialistes étrangers criant au scandale  À l’international, la pilule a beaucoup plus de mal à passer. En effet, plusieurs professionnels ont fait savoir leur désaccord avec le choix du Grand Chelem parisien. Gill Gross, analyste tennis travaillant pour Tennis Channel et l’US Open, a par exemple fait savoir son désaccord par un tweet assez clair : “D’habitude, je m’oppose catégoriquement à ce que l’on se plaigne de l’attribution ou non des wild cards (l’équité n’est PAS le but recherché). Mais je dois faire une exception ici. Dominic Thiem dans le tableau final, cela ferait du Roland‐Garros de cette année un bien meilleur événement, sans aucun doute.” Gross n’est pas le seul spécialiste en colère. José Morgado, journaliste tennis portugais de renom, n’a pas mâché ses mots, s’en prenant directement à la fédération française : "Je suis désolé mais le cas de Thiem est absolument impardonnable. Un non-sens absolu de la part de la Fédération française de tennis.” Enfin, on peut aussi citer l’avis très tranché de Sascha Bajin. Le Serbe, entraîneur de certaines championnes telles que Naomi Osaka (avec laquelle il remportera deux Grands Chelems) ou encore Karolina Pliskova, n’a pas aimé le choix fait par Amélie Mauresmo et son entourage. Visiblement très remonté, il a déclaré sur Twitter :  Roland-Garros ne va pas donner à Thiem, deux fois finaliste, une Wild Card lors de sa dernière année. C’est une blague… Désolé Roland-Garros mais c’est tout simplement terrible et celui qui a pris cette décision doit être ..... (vous les gars remplissez le blanc)” Quoi qu’il en soit, le choix a été fait par le t
Intraitable, Sabalenka rejoint les demi-finales à Rome !  Il n’y a plus aucune question à se poser, Aryna Sabalenka va mieux. Endeuillée par la mort de son ex-compagnon puis en perte de vitesse pendant plusieurs semaines, le tennis sourit à nouveau à la Biélorusse. Auteure d’un superbe tournoi de Madrid où elle s’est finalement inclinée en finale, malgré trois balles de titre (défaite 7-5, 4-6, 7-6 face à Swiatek), la numéro 2 mondiale conserve le rythme à Rome.   Malgré quelques matchs compliqués, elle continue sa montée en puissance. Opposée à Jelena Ostapenko en quarts de finale, la joueuse de 25 ans a parfaitement verrouillé le match pour s’imposer en à peine plus d’une heure (6-2, 6-4). Très solide au service (0 balle de break concédée) et toujours aussi agressive dans l’échange (12 coups gagnants, 11 fautes directes), c’est en profitant des imprécisions de son adversaire (18 coups gagnants, 18 fautes directes, 4 doubles fautes) qu’elle a très tranquillement rejoint les demi-finales.  Alors que des retrouvailles avec Swiatek en finale deviennent de plus en plus crédibles, la Biélorusse est en train de montrer toutes ses qualités de jeu sur terre battue. Finalement, il se pourrait bien que ce soit elle la joueuse avec le plus de chances de pouvoir empêcher la numéro 1 mondiale de s’imposer une quatrième fois à Paris. Pour une place en finale, la numéro 2 mondiale défiera, ce jeudi, la gagnante du duel entre l’irrésistible Danielle Collins (15e) et l’inépuisable Victoria Azarenka (24e). 
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