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Tomas Berdych
7
3
6
0
0
송가
5
6
1
0
0
Berdych
-
Tsonga
Score
1h55
En attendant, rendez-vous dès demain pour suivre les matchs du Groupe B qui opposeront Federer à Ferrer et Del Potro à Tipsarevic. Bonne fin de soirée, bonne nuit et à demain.
1h54
Tsonga devra gagner en deux sets face à Murray vendredi s'il veut encore espérer se qualifier pour le dernier carré.
1h53
Tsonga a complètement perdu le fil dans cette troisième manche alors qu'il semblait avoir pris le contrôle des débats après le gain du deuxième set.
1h51
Set 3
1h51
6
-
1
7-5 3-6 6-1
+
1h51
Jeu, set et match Berdych ! Le Tchèque conclut sur sa première balle de match et se relance totalement dans la course aux demi-finales.
1h48
Berdych au service pour le gain du match.
1h47
Nouveau break pour Berdych, blanc celui-là. Comme dans le premier set, Tsonga a offert ce jeu à son adversaire.
1h47
5
-
1
7-5 3-6 5-1
+
1h44
Break confirmé par Berdych qui a son destin entre les mains. S'il tient ses mises en jeu il remportera ce match.
1h43
4
-
1
7-5 3-6 4-1
+
1h41
Le break pour Berdych ! Alors que Tsonga semblait avoir pris l'ascendant en ce début de manche, il manque un peu de réussite puis de précision et laisse échapper son service.
1h38
3
-
1
7-5 3-6 3-1
+
1h34
2
-
1
7-5 3-6 2-1
+
1h31
1
-
1
7-5 3-6 1-1
+
1h29
1
-
0
7-5 3-6 1-0
+
1h26
Jeu et deuxième set Tsonga ! Le Français sauve d'abord une balle de break en délivrant un ace sur 2ème balle avant de conclure grace à un autre ace, sur 1ère balle celui-là, à 220 km/h extérieur. Énorme !
1h21
Set 2
1h21
3
-
6
7-5 3-6
+
1h16
3
-
5
7-5 3-5
+
1h13
2
-
5
7-5 2-5
+
1h11
2
-
4
7-5 2-4
+
1h08
Break confirmé avec un dernier point sur lequel Berdych finit à terre. Tsonga est bien parti dans ce deuxième acte.
1h07
1
-
4
7-5 1-4
+
1h06
Break en faveur de Tsonga ! Après avoir laissé échapper deux balles de break à 15-40, le Français a continué d'aller de l'avant et il n'a pas manqué sa troisième opportunité. Il vient peut-être de relancer totalement ce match.
1h05
1
-
3
7-5 1-3
+
0h57
1
-
2
7-5 1-2
+
0h53
1
-
1
7-5 1-1
+
0h50
0
-
1
7-5 0-1
+
0h48
Tsonga va entamer le deuxième acte au service.
0h48
Jeu et première manche Berdych ! 2 aces, 1 service gagnant et une volée de coup droit liftée gagnante, voilà le Tchèque qui prend les commandes dans cette partie. Tsonga s'en veux d'être passé à côté de son dernier jeu de service.
0h46
Set 1
0h46
7
-
5
7-5
+
0h44
Et le break de Tomas Berdych ! Un énorme passing de revers et trois fautes directes de Tsonga qui n'a pas pris assez de marge sur ses attaques. Le Tchèque va donc servir pour le gain de ce premier set.
0h43
6
-
5
6-5
+
0h39
5
-
5
5-5
+
0h35
4
-
5
4-5
+
0h33
Berdych s'est retrouvé mené 0-30 sur le jeu précédent tandis que Tsonga a déjà dû sauver 3 balles de break.
0h32
Chacun commence à mettre plus de pression sur le service adverse mais sans succès pour le moment.
0h31
4
-
4
4-4
+
0h28
3
-
4
3-4
+
0h20
3
-
3
3-3
+
0h14
2
-
3
2-3
+
0h12
2
-
2
2-2
+
0h08
1
-
2
1-2
+
0h06
Les deux joueurs sont bien rentrés dans la partie en tenant leur service sans problème.
0h05
1
-
1
1-1
+
0h00
0
-
1
0-1
+
-
C'est parti ! Tsonga est au service pour entamer ce match et il commence avec un ace.
-
Place à l'échauffement maintenant.
-
L'enjeu est simple, le perdant de ce match sera presque éliminé tandis que le vainqueur jouera sa qualification lors du dernier match.
-
Tsonga vient de faire son entrée sur le court suivi par Berdych.
-
Bonsoir à tous et bienvenue dans l'O2 Arena de Londres pour suivre ce duel entre Jo-Wilfried Tsonga et Tomas Berdych.
Jeu de service
Break
Inconnu
Latest flashs flash
Irrésistible, Collins rejoint les demi-finales à Rome  Depuis qu’elle a annoncé que cette saison serait sa dernière année, Danielle Collins développe un tennis de grande beauté. En effet, souffrant d’endométriose, l’Américaine ne semble pas pouvoir continuer à jouer sur le circuit après 2024. Opposée à Victoria Azarenka, Collins a déroulé son tennis pour s’imposer (6-4, 6-3 en 1h44). Qualifiée pour les demi-finales de Rome, pour la première fois de sa carrière, elle retrouvera une autre Biélorusse sur son chemin puisqu’elle fera face à Aryna Sabalenka (2e) pour une place en finale.  Bluffante, l’Américaine réalise une saison absolument mémorable. S’adjugeant 19 succès en 20 matchs, Collins compte déjà deux titres coup sur coup, remportés consécutivement, à Miami et Charleston. Le plus fou dans tout cela, c’est que sa seule défaite était survenue à Madrid, face à Sabalenka, sa future adversaire en demi-finale.   69e mondiale en janvier, Collins sera au pire 12e mondiale à l’issue du tournoi italien et s’affirme donc plus que jamais comme une candidate au titre partout où elle va.  Rendez-vous donc ce jeudi pour la 15e mondiale afin de savoir si elle peut aller chercher une nouvelle finale.
Djokovic, participant surprise à Genève ? Cette éventualité carrément comique il y a encore quelques jours semble devenir un peu plus crédible. En effet, comme le révèlent nos confrères suisses de Blick, le Serbe réfléchirait à une participation à l'ATP 250 de Genève afin d'accumuler un peu plus de matchs avant le début de Roland-Garros.   Il se pourrait que le numéro 1 mondial, toujours en quête de son premier titre de la saison, demande une invitation au tournoi Suisse. Auteur d'un début de saison très moyen, un tel choix lui permettrait d'engranger un peu plus de confiance en vue de la défense de son titre à Paris. Cela dit, 'Nole' n'a pas pour habitude de jouer un tournoi la semaine précédant un Grand Chelem, même s'il l'a fait une fois, en 2017. Cette année-là, il avait joué à Eastbourne avant Wimbledon.  Nos confrères suisses nous rappellent aussi que le 'Djoker' possède certains liens avec le tournoi, puisque Janko Tipsarevic, ami proche de Djokovic, est le beau-frère de Rainer Schuttler, co-propriétaire du tournoi Genevois.  Alors que le plateau du tournoi suisse est déjà très relevé pour un ATP 250 avec les présences de plusieurs joueurs de renom (Casper Ruud, Andy Murray, Nicolas Jarry, Taylor Fritz), le tenant du titre du prochain Roland-Garros pourrait constituer la cerise sur le gâteau.  Quoi qu'il en soit, la réponse sera très vite donnée puisque le tournoi n'a pour l'instant révélé qu'une de ses trois Wild-Cards (offerte à Andy Murray). Parmi les prétendants, on compte d'ores et déjà Matteo Berrettini, visiblement remis, mais aussi et surtout Grigor Dimitrov (10e), déjà sur place depuis son élimination à Rome.  Une chose est sûre, le Serbe n'a qu'à passer un coup de fil et il obtiendrait l'une des invitations restantes, au grand dam de, probablement, Matteo Berrettini.   Affaire à suivre…
Depuis mardi, la planète Tennis se divise sur le cas Thiem - Retour sur une polémique prévisible Roland-Garros aurait-il dû inviter Dominic Thiem ? C’est la question qui est sur toutes les lèvres depuis l’annonce des invitations pour Paris. Alors que l’Autrichien, double finaliste et quadruple demi-finaliste à Roland-Garros, a annoncé qu’il prendrait sa retraite à l’issue de la saison, le tournoi français a décidé de ne pas lui offrir d'invitations. Mais alors que la polémique enfle, une question se pose : Est-ce un vrai scandale ?  - Un choix pas vraiment surprenant Cette décision, bien que pas vraiment étonnante au vu des dernières éditions, ne fait pas l’unanimité. En effet, ce choix était assez prévisible. Si dans les années 80-90, il était assez fréquent d’inviter des joueurs étrangers, ce n’est plus le cas dans le passé récent du tournoi (à l’exception des invitations conventionnées avec les fédérations australiennes et américaines). Depuis 2003, seuls quatre joueurs étrangers ont été invités par le Grand Chelem parisien : Michael Chang (2003), Gustavo Kuerten (2008), Gaston Gaudio (2009) et Andy Murray (2020).  Parmi ces joueurs, trois avaient déjà été sacrés à Paris (Chang, Kuerten et Gaudio) et le dernier, Andy Murray, a une carrière encore plus impressionnante que celle de Thiem puisqu’il compte 3 titres du Grand Chelem, deux titres olympiques et a été numéro 1 mondial. Ainsi, le tournoi parisien a, depuis plusieurs années, choisi de privilégier les espoirs français aux invitations offertes à des joueurs étrangers ayant marqué de leur empreinte le tournoi. N’oublions pas que Schwartzman va lui aussi vivre son dernier Roland-Garros et n’a pas non plus été invité.  Une fois ce contexte général posé, on ne peut pas nier que ce choix reste matière à débats. D’ailleurs, depuis mardi, les réactions fusent sur les réseaux. Si certains prennent la défense de la fédération, d’autres crient au scandale. Des joueurs aux entraîneurs, en passant par les spécialistes et les journalistes, chacun y va de son petit avis.  - Des Français au soutien de leur fédération Plusieurs Français ont pris la parole pour justifier le choix fait par le tournoi. On pourra notamment citer Lucas Pouille, 229e cette semaine, qui, bien que privé d’invitation, a tenu à défendre le choix fait par Roland-Garros et la fédération. Il a ainsi déclaré : "Certes, il mérite, il a une carrière extraordinaire. Mais les jeunes qui sont entre la 110e et la 130e place la méritent également. Je trouve ça normal de les privilégier.” (propos relayés sur les réseaux sociaux).  Même son de cloche du côté de Quentin Halys. Le Français, 188e, a donné son point de vue sur les réseaux sociaux. Réagissant à une des publications qui a mis le feu au poudre, à savoir le tweet de nos confrères de Tennis Legend, Halys explique avec une certaine ironie : “Pourquoi ne pas crier au scandale à Vienne quand il ne donne pas de Wild Card à Lucas alors vu qu’il a gagné le tournoi déjà (en 2017) ?” Pour rappel, Tennis Legend avait réagi avec virulence à l’annonce des invitations, ce mardi : “Pas de Wild Card pour Dominic Thiem à Roland-Garros. On est quand même sur un immense manque de respect pour un joueur double finaliste du tournoi qui a juste été pendant plusieurs années le deuxième meilleur joueur sur terre battue derrière le Roi.” - Des spécialistes étrangers criant au scandale  À l’international, la pilule a beaucoup plus de mal à passer. En effet, plusieurs professionnels ont fait savoir leur désaccord avec le choix du Grand Chelem parisien. Gill Gross, analyste tennis travaillant pour Tennis Channel et l’US Open, a par exemple fait savoir son désaccord par un tweet assez clair : “D’habitude, je m’oppose catégoriquement à ce que l’on se plaigne de l’attribution ou non des wild cards (l’équité n’est PAS le but recherché). Mais je dois faire une exception ici. Dominic Thiem dans le tableau final, cela ferait du Roland‐Garros de cette année un bien meilleur événement, sans aucun doute.” Gross n’est pas le seul spécialiste en colère. José Morgado, journaliste tennis portugais de renom, n’a pas mâché ses mots, s’en prenant directement à la fédération française : "Je suis désolé mais le cas de Thiem est absolument impardonnable. Un non-sens absolu de la part de la Fédération française de tennis.” Enfin, on peut aussi citer l’avis très tranché de Sascha Bajin. Le Serbe, entraîneur de certaines championnes telles que Naomi Osaka (avec laquelle il remportera deux Grands Chelems) ou encore Karolina Pliskova, n’a pas aimé le choix fait par Amélie Mauresmo et son entourage. Visiblement très remonté, il a déclaré sur Twitter :  Roland-Garros ne va pas donner à Thiem, deux fois finaliste, une Wild Card lors de sa dernière année. C’est une blague… Désolé Roland-Garros mais c’est tout simplement terrible et celui qui a pris cette décision doit être ..... (vous les gars remplissez le blanc)” Quoi qu’il en soit, le choix a été fait par le t
Intraitable, Sabalenka rejoint les demi-finales à Rome !  Il n’y a plus aucune question à se poser, Aryna Sabalenka va mieux. Endeuillée par la mort de son ex-compagnon puis en perte de vitesse pendant plusieurs semaines, le tennis sourit à nouveau à la Biélorusse. Auteure d’un superbe tournoi de Madrid où elle s’est finalement inclinée en finale, malgré trois balles de titre (défaite 7-5, 4-6, 7-6 face à Swiatek), la numéro 2 mondiale conserve le rythme à Rome.   Malgré quelques matchs compliqués, elle continue sa montée en puissance. Opposée à Jelena Ostapenko en quarts de finale, la joueuse de 25 ans a parfaitement verrouillé le match pour s’imposer en à peine plus d’une heure (6-2, 6-4). Très solide au service (0 balle de break concédée) et toujours aussi agressive dans l’échange (12 coups gagnants, 11 fautes directes), c’est en profitant des imprécisions de son adversaire (18 coups gagnants, 18 fautes directes, 4 doubles fautes) qu’elle a très tranquillement rejoint les demi-finales.  Alors que des retrouvailles avec Swiatek en finale deviennent de plus en plus crédibles, la Biélorusse est en train de montrer toutes ses qualités de jeu sur terre battue. Finalement, il se pourrait bien que ce soit elle la joueuse avec le plus de chances de pouvoir empêcher la numéro 1 mondiale de s’imposer une quatrième fois à Paris. Pour une place en finale, la numéro 2 mondiale défiera, ce jeudi, la gagnante du duel entre l’irrésistible Danielle Collins (15e) et l’inépuisable Victoria Azarenka (24e). 
A Rome, Zverev avance confiant : “Je sais ce que c’est de gagner ici” Avec Stefanos Tsitsipas, il est désormais le grand favori au sacre italien. Alexander Zverev pourrait bien profiter de l’hécatombe romaine pour relancer sa saison. En effet, après un superbe début de saison (titre à l’United Cup, demi-finale à l’Open d’Australie, quarts à Indian Wells, demie à Miami), Zverev piétine un peu sur ocre. Habitué à bien jouer sur la surface, à l’image de ses trois demi-finales à Roland-Garros (2021, 2022, 2023) ou de ses titres à Madrid (2018, 2021) et Rome (2017), l’Allemand doit mieux faire. Avant d’arriver en Italie, le numéro 5 mondial affichait un bilan, sur ocre, assez décevant (3 victoires en 6 matchs). Oui mais voilà, le droitier allemand réalise un début de tournoi très solide. Alors qu’il va se présenter en quarts de finale sans avoir perdu de manche, l’Allemand pourrait se rappeler au bon souvenir du circuit ATP. Avant d’affronter Taylor Fritz pour une place en demi-finale (ce mercredi, pas avant 20h30), Sacha a tenu à prévenir ses rivaux. Il sait ce que c’est de gagner au Foro Italico : “J’attendais beaucoup de la saison sur terre et les premiers tournois ne se sont pas bien passés. Mais maintenant, je me sens à l’aise à Rome. Je sais ce que c’est que de gagner ici, je l’ai déjà fait. Mon tennis s’adapte bien à ces conditions et j’ai l’impression d’avoir un bon rythme de balle et de l’intensité dans les jambes.”
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