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Rohan Bopanna
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Bernard Tomic
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Jeu de service
Break
Inconnu
Latest flashs flash
À Rome, Sabalenka met tout le monde d’accord La saison 2024 d’Aryna Sabalenka suit une trajectoire assez originale. Finaliste à Brisbane (battue par Rybakina) et surtout sacrée à l’Open d’Australie, la Biélorusse a connu un début de saison quasi-parfait. Oui, mais voilà, les choses se sont gâtées par la suite. Perdant une part de sa motivation puis subissant le décès de son ex-compagnon en mars, Sabalenka a eu du mal à rester concentrée sur son tennis. C’est simple, avant Madrid, la numéro 2 mondiale ne comptait que 4 victoires en 7 matchs.  Heureusement, elle a retrouvé le chemin de la victoire. Arrivant à Madrid en manque de confiance, Sabalenka a enchaîné les victoires, souvent difficiles. Revigorée par cette spirale positive, elle fait de nouveau figure d’épouvantail. Enchaînant des victoires sur Collins, Andreeva et surtout Rybakina, la joueuse de 26 ans a finalement calé en finale du tournoi espagnol face à la meilleure joueuse du monde, Iga Swiatek (7-5, 4-6, 7-6). Engagée dans un tournoi romain qu’elle n’a pourtant jamais gagné, la Biélorusse impressionne toujours autant. Portée par un public italien qui la soutient avec une grande ferveur, elle semble imperturbable. Remerciant son public après chaque match ou presque, elle se présentera en finale ce samedi. Alternant entre des victoires tranquilles et des matchs beaucoup plus difficiles, Sabalenka a toujours répondu présente. En effet, elle a sauvé des balles de match face à Svitolina avant de parfaitement maîtriser Ostapenko et Collins.  Plus que jamais numéro 2 mondiale, elle a gagné le droit de disputer une revanche face à son bourreau de Madrid, Iga Swiatek.  Dans une finale qui tend à devenir un classique, les deux meilleures joueuses de la planète vont donc se retrouver, deux semaines après s’être affrontées en Espagne, pour un 11e affrontement en carrière. Une chose est sûre : Sabalenka est en train de s’affirmer comme la seule joueuse capable de régulièrement challenger la domination de la Polonaise.
Rétrospective #2 : Le jour où Nadal et Federer se sont livrés à l’une des finales les plus mémorables de l’histoire (Rome 2006) “Vraiment. Rafa est une personne géniale, avec de belles valeurs. Aujourd’hui, il m’a confié avoir pleuré quand j’ai gagné mon Roland-Garros en 2009 tellement il était heureux pour moi.” Cet extrait d’une des multiples interviews accordées par Roger Federer montre très bien la relation toute particulière qu'entretiennent ces deux légendes de notre sport. Cette même rivalité bienveillante qui avait réussi l’exploit d’attirer près de 52000 personnes, le chiffre record pour un match de tennis, à Cap Town en 2020. Questionné sur l’évolution de leur rapport à travers le temps, lors de la Laver Cup 2017, Roger se souvient : “Au début, Rafa était timide, toujours très respectueux envers les autres joueurs du top 10, et moi en particulier parce que j’étais numéro 1 mondial. Puis sa personnalité s’est affirmée. Nous avons eu de rudes et douloureuses batailles sur le court, quelques brouilles, aussi, mais il y a toujours eu un énorme respect entre nous.” Oui, Federer et Nadal ont connu plusieurs rudes batailles menant en effet à quelques brouilles. Et, l’une des plus mémorables remonte au 14 mai 2006 lorsque les deux légendes se sont affrontées en finale du Masters 1000 de Rome. - Un peu de contexte En 2006, ce sont les deux meilleurs joueurs de la planète. D’un côté, Roger Federer est incontestablement le tennisman le plus costaud. Numéro 1 mondial depuis février 2004, il est très solidement ancré sur le trône et ne le quittera plus jusqu’au mois d'août de l’année 2008. En face du Bâlois, c’est Rafael Nadal qui se présente. En 2006, c’est lui le challenger le plus crédible face à l’hégémonie du Suisse. Dauphin de Federer depuis juillet 2005, il le restera jusqu’en août 2008, moment où il finira par passer devant le Maestro au classement. Avant de parler un peu plus en détail de ce duel monstrueux, il convient de revenir sur les saisons de ces deux titans. À seulement 19 ans, ‘Rafa’ réalise un exercice 2006 de très haut niveau : il remporte 58 matchs sur 70, s’adjuge 5 titres (Dubaï, Monte-Carlo, Barcelone, Rome, Roland-Garros) et perd une finale (à Wimbledon, battu par Federer). Federer, de son côté, réalise une saison presque inhumaine. En 17 tournois joués en 2006, Roger ne chute avant la finale qu’une seule fois (battu par Murray à Cincinnati). Le Suisse, au sommet de son art, remporte 90 matchs sur 95 et s’adjuge 12 titres dont trois en Grand Chelem (Doha, Open d’Australie, Indian Wells, Miami, Halle, Wimbledon, Montréal, US Open, Tokyo, Madrid, Bâle, ATP Finals). Le seul à lui résister c’est ‘Rafa’. L'Espagnol privera le Bâlois de quatre titres dont bien sûr Roland-Garros ce qui empêchera le Maestro de réaliser le Grand Chelem calendaire. Heureusement, Federer maîtrisera bien mieux son adversaire sur la suite de la saison, remportant leurs deux derniers matchs. Ce n’est pas un secret, les duels entre Federer et Nadal ont marqué plusieurs générations de passionnés. Dans l’histoire du tennis, les « Fedal », c’est 40 matchs (24 victoires à 16 pour Rafa). 2006 restera l’année de leur rivalité puisqu’ils se sont rencontrés à 6 reprises. Beaucoup de leurs duels mériteraient un article. Seulement, ce qui nous intéresse ici, c’est le Masters 1000 de Rome. Et, en 2006, ces deux-là s’étaient livrés, dans la ville éternelle, à l’une des finales les plus mémorables de l’histoire du tennis. - Un match pour écrire l’histoire À cette époque, Federer est frustré. Restant sur 3 défaites consécutives face à l’Espagnol, il veut prendre sa revanche. Battu à Monaco, trois semaines plus tôt, le Suisse estime se rapprocher de la bonne stratégie : “J’ai joué plus intelligemment qu’à Roland-Garros (demi-finale 2005) aujourd’hui (à Monaco). Je me rapproche, j’ai fait un pas de plus vers la solution pour le battre sur terre.”. De l'autre côté du terrain, Rafa, 19 ans, est déjà un roi. Depuis sa défaite face à Igor Andreev à Valence en 2004, il en est à 52 succès consécutifs sur ocre. C’est ainsi qu'il se trouve déjà à une unité du record de mammouth de Guillermo Vilas (53 victoires de rang sur terre battue). Pour égaler l’Argentin, il doit s’imposer face à Federer au sein du Foro Italico. Là où, un an plus tôt, il avait battu, au terme d’un des plus grands matchs de l’histoire sur terre battue, Guillermo Coria. - Federer, un numéro 1 mondial revanchard Dès le premier point joué, Federer passe des paroles aux actes. Il a un plan. Il joue en plein dans le revers du majorquin, dans des zones assez centrales pour éviter de trop gros décalages et bondit au filet dès que possible. Remportant 15 points sur 18 au filet, il finit par s’adjuger le premier acte au terme d’un tie-break à sens unique (7-0). Perfectionnant son jeu depuis des mois pour pouvoir contrer Nadal sur ocre, le Suisse bluffe son monde. Utilisant l’amorti bien plus qu’à l’accoutumé, il fait m
Interrogé sur Roland-Garros, Roddick s’attend à un tournoi plus ouvert que jamais : “Tout d’un coup, nous parlons de 12 ou 15 joueurs pouvant gagner le tournoi” On le sait, cette édition de Roland-Garros s’annonce plus indécise que jamais. Du moins, chez les hommes. Pour rappel, Carlos Alcaraz et Jannik Sinner sont toujours en délicatesse avec leur physique, Novak Djokovic est encore très loin de sa forme et Rafael Nadal peine à retrouver un niveau vraiment satisfaisant. Ce contexte, rarissime dans le tennis masculin, risque de nous offrir un tournoi plus ouvert que jamais et certains outsiders pourraient finalement endosser un costume de favori. C’est en tout cas ce que pense Andy Roddick, ex numéro 1 mondial et vainqueur de l’US Open 2003. Dans des propos relayés par Tennis Channel, le champion américain, titré à l’US Open 2003 explique qu’un grand nombre de joueurs pourraient s’imposer cette année : “Chaque joueur du top 4 mondial, ou presque, a un problème physique à l’approche du tournoi. Je ne pense pas qu’il y ait eu beaucoup de tournois du Grand Chelem au cours des 25 dernières années, en tout cas chez les hommes, pour lesquels nous puissions dire : ‘Oui, le tournoi est ouvert’. [...] Notre favori est un gars qui souffre d’une blessure à l’avant‐bras et qui n’a pas joué deux des trois derniers Masters 1000 (Carlos Alcaraz). D’ailleurs, Medvedev, Rublev et Ruud aimeraient aussi avoir leur mot à dire, tout comme Taylor Fritz et encore d’autres. Tout d’un coup, nous parlons de 12 ou 15 joueurs pouvant gagner le tournoi. Je crois que l’occasion se présente pour de nombreux joueurs que l’on ne considère pas forcément comme des favoris.”
Héroïque, Jarry renverse Tsitsipas à Rome C’est un vrai festival chilien qui frappe l’Italie. Après la qualification d’Alejandro Tabilo ce mercredi, c’est cette fois Nicolas Jarry qui a obtenu son billet pour les demi-finales. Opposé à un Stefanos Tsitsipas pourtant très en confiance, le numéro 24 mondial a fait preuve d’une grande résilience pour réussir à s’imposer (3-6, 7-5, 6-4 en 2h39). Dans un duel de haut niveau où les deux hommes ont joué un tennis très agressif, c’est finalement Jarry qui a été le plus costaud. Bluffant de réalisme, le Chilien a ainsi écarté 11 balles de break sur l’ensemble de la partie. Longtemps dominé, il a su faire le dos rond pour finalement profiter d’un petit coup de moins bien du Grec pour le coiffer au poteau. Rapidement mené d’un break puis d’un set (3-6), le joueur de 26 ans n’a rien lâché. Dominé une bonne partie du deuxième acte, il a finalement tenu sa mise en jeu, non sans écarter plusieurs balles de break, avant de surprendre Tsitsipas au meilleur des moments pour recoller (7-5). Bis repetita au dernier set. Malgré une superbe entame de son entame adversaire, Jarry va débreaker avant de réaliser un ultime break, synonyme de victoire (3-6, 7-5, 6-4). Qualifié sur une dernière défense de fond de court assez bluffante, il va donc vivre sa première demi-finale de Masters 1000 en carrière. De son côté, Tsitsipas manque une énorme occasion. Au vu de l’hécatombe romaine, le numéro 8 mondial avait une belle occasion de sacre. Surpris par un adversaire très relâché, il va devoir encore attendre s’il veut ajouter son nom au palmarès du tournoi. Bien que très en forme, il lui faudra encore mieux faire pour s’imposer à Roland-Garros, dans un peu plus d’une semaine. Nicolas Jarry, quant à lui, va devoir vite se remettre de ses émotions puisqu’il sera de retour sur le court dès demain pour y défier Tommy Paul, tombeur d’Hubert Hurkacz un peu plus tôt dans la journée (7-5, 3-6, 6-3).
A Rome, Swiatek continue de marquer l’histoire Iga Swiatek n’a pas notre temps. A 22 ans, elle est la patronne incontestée et incontestable du circuit WTA. Brillante, elle joue un tennis de très grande qualité, particulièrement sur terre battue. Après quatre matchs tranquilles, la numéro 1 mondiale a fait face à un premier gros test ce jeudi. Opposée à Coco Gauff (3e), elle y a répondu très favorablement. Bien que l’Américaine ait démarré le match pied au plancher en breakant d’entrée, Swiatek a utilisé toute sa science du jeu pour museler une adversaire encore un peu trop naïve (6-4, 6-3 en 1h47). Qualifiée, la Polonaise va donc vivre sa 25e finale en carrière, la 12e en WTA 1000. Il n’est pas certain que le grand public s’en rende bien compte mais ce que fait Swiatek a 22 ans est absolument historique. En 30 participations à des tournois de la catégorie, elle a donc atteint douze fois la finale (40% du temps). C’est simple, c’est le meilleur ratio depuis l’instauration du format en 2009, même Serena Williams ne fait pas mieux (37%, soit 18 finales en 49 participations). Bien consciente d’écrire l’histoire de son sport, la numéro 1 mondiale explique vouloir prendre de la distance avec les chiffres : “Honnêtement, je n'y pense pas vraiment, car c'est déjà beaucoup. Je vis ma vie au jour le jour. Je ne pense pas aux statistiques ou à l'histoire. Je pense que c'est plus facile ainsi. Cela vous permet de jouer de manière plus détendue et plus libre. Je vais juste essayer de jouer le meilleur tennis possible en finale. Si j'y vais doucement et pas à pas, je pense que ce sera mieux que si je pense déjà à la victoire. Le chemin est encore long. Il y a encore beaucoup de travail à faire.” Irrésistible, Swiatek visera donc un 21e titre en carrière ce samedi, performance qui la mettrait dans des dispositions parfaites en vue de Roland-Garros. En finale, elle pourrait bien retrouver, comme à Madrid, Sabalenka, à moins que Collins ne vienne gâcher la fête.
ranking Top 5 목요일 16
malti 1 malti 12pts
lhanzlot 2 lhanzlot 12pts
patmau 3 patmau 12pts
Nmassay 4 Nmassay 12pts
Marion S. 5 Marion S. 10pts
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