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Luke Saville
 
Michael Mmoh
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Après Swiatek et Gauff, Sabalenka et Rybakina rejoignent à leur tour les huitième à Madrid Samedi, Iga Swiatek et Coco Gauff ont tenu leur rang pour rejoindre les huitièmes de finale. Ce dimanche, ce fut le tour de Sabalenka et de Rybakina. Toutes deux ont assuré l’essentiel et seront donc au rendez-vous du prochain tour. Elena Rybakina a été la première à gagner son billet. Face à une adversaire inconstante, la Kazakh n’a pas vraiment été challengé. Solide au service, la numéro 4 mondiale a tranquillement disposé de l’Egyptienne Mayar Sherif (6-1, 6-4 en en 1h30). En huitième de finale, la numéro 4 mondiale défiera l’étonnante Sara Bejlek (18 ans, 136e mondiale et issue des qualifications). De son côté, Aryna Sabalenka a eu un peu plus de mal. D’abord dominante, elle a ensuite été sérieusement contestée par son adversaire, Robin Montgomery (19 ans, 183e mondiale, invitée par les organisateurs). Surprise par une Américaine décomplexée, la tenante du titre a dû lutter pendant près de 2h30. A l’expérience, la Biélorusse a su accélérer au meilleur moment pour se qualifier pour le prochain tour (6-1, 6-7, 6-4 en 2h28). En huitième, la vainqueure du dernier Open d’Australie affrontera Danielle Collins, invaincue depuis 15 matchs (titrée à Miami et Charleston avant de venir à Madrid).
A Madrid, Nadal se rassure (au service) : "L’amélioration la plus significative dans mon jeu est le service" A la Caja Magica, Rafael Nadal est le joueur vers lequel tous les regards se tournent. De retour depuis Barcelone, l’Espagnol monte en puissance à Madrid. Après une victoire logique au premier tour (face à Darwin Blanch, 6-1, 6-0), Rafa a pris sa revanche sur celui qui l’avait battu à Barcelone : Alex De Minaur, 11e mondial (7-6, 6-3). Alors qu’il affrontera Pedro Cachin (91e mondial) pour une place en huitième de finale, le roi de la terre battue s’est confié en conférence de presse. Longtemps gêné par des douleurs abdominales (l’empêchant de servir correctement), il semble plus confiant sur ce point. En effet, selon lui, le coup sur lequel il a le plus progressé depuis son retour est le service : "Cette semaine, l’amélioration la plus significative dans mon jeu est le service. Je n’ai pas de limites. Je ne peux pas faire l’idiot parce que je n’ai pas été capable de servir depuis de nombreux mois, donc je ne peux pas m’entraîner à faire 100 services par jour. La musculature doit s’adapter progressivement aux charges, mais aujourd’hui (face à De Minaur, samedi) j’ai pu servir et l’autre jour (face à Blanch, jeudi) aussi. Au moins, je n’ai plus peur de cet aspect de mon jeu."
Rassuré par son bras droit, Alcaraz sait à quoi s’attendre face à Struff : "Je connais son jeu" Après deux matchs très tranquilles (9 jeux perdus en tout) où il aura pu se rassurer sur l’état de son bras droit, Carlos Alcaraz va vivre son premier test du tournoi mardi. En huitième de finale, c’est Jan-Lennard Struff qui l’attend. Un joueur que l’Espagnol connaît déjà puisque c’est contre lui qu’il s’était adjugé son deuxième titre consécutif ici-même l’an passé (victoire 6-4, 3-6, 6-3). Lors de son passage en conférence de presse, le numéro 3 mondial est d’abord revenu sur son état physique : "Je me sens très bien, je bouge bien et mon avant-bras ne me pose pas de problème, mais je me demande toujours comment cela va se passer.[…] Je ne joue pas à un pourcentage bas, je joue différemment. Nous sommes tous habitués à me voir frapper mon coup droit à 200 %, de plus en plus fort, et parfois Ferrero me dit qu'il n'est pas nécessaire d'en faire autant. Parfois, il suffit de détendre la main et d'aller vers l'avant. [...] Je suis très heureux de la façon dont je frappe mon coup droit : détendu, vers l'avant et en faisant tourner la balle." Interrogé sur son futur adversaire, l’Espagnol ne semble pas très inquiet : "Je connais le niveau de Struff, je connais son jeu, il est très bon au service et à la volée, a de bonnes frappes du fond. Mais je suis très heureux du niveau auquel je joue. À ce niveau, je peux faire de grandes choses, même si ce n'est pas la priorité pour l'instant. Avec ce jeu, je vais me donner des chances d'avoir des options, mais je vais devoir jouer à un bon niveau et le mettre mal à l'aise." (propos relayés par L'Equipe).
Portrait – Qui est Thiago Monteiro, l’étonnant tombeur de Tsitsipas ? Thiago Monteiro n’est pas n’importe quel tennisman. Adopté à sa naissance et élevé dans une famille pauvre, rien ne destinait le Brésilien à devenir tennisman professionnel. Pourtant, à Madrid, Monteiro émerveille le public espagnol. Le numéro 118 mondial s’est d’abord, silencieusement, extirpé des qualifications en disposant de Lucas Pouille (4-6, 6-4, 6-4) puis de Radu Albot (7-6, 1-6, 6-4). Loin de s’arrêter là, l’ex 61e mondial a continué de briller en Espagne. C’est ainsi qu’il allait évincer un Dusan Lajovic en confiance (6-4, 6-3) avant de réaliser l’extroardinaire exploit de renverser Stefanos Tsitsipas au second tour (6-4, 6-4 en 1h34). Évoluant à un niveau bluffant, le Brésilien va, pour la première fois de sa carrière, connaître un troisième tour en Masters 1000. Mais, alors, qui est réellement cet étonnant joueur de 29 ans ? - Une trajectoire de vie particulière Monteiro a une trajectoire de vie très particulière. Adopté à la naissance, il se souvient encore de sa mère (adoptive), Fatima, qui lui racontait l’histoire d’une cigogne envoyée par Dieu pour y déposer un bébé devant sa porte. D’un franc parler émouvant, Monteiro raconte : "Ma maman est très religieuse, elle faisait partie d'une communauté catholique dans laquelle elle aidait des sans-abris. C'est comme ça qu'elle a rencontré ma mère biologique qui vivait dans la rue et qui était enceinte de moi. […] Ma mère biologique lui a dit qu'elle ne pouvait pas élever un enfant en dormant dehors. Ma maman, qui était alors en rémission d'un cancer du sein, a vu ça comme un signe pour se donner la force de combattre la dépression dont elle souffrait." (propos relayés par L’Equipe). Très admiratif, le gaucher avoue avoir fait de Fatima son modèle : "La force et le courage de ma mère viennent d'une autre planète. Elle a élevé cinq enfants, seule, elle nous a éduqués, soutenus et aimés. Je lui dois tout. […] Sa force et son courage viennent d'une autre planète. […] Je lui dois tout. Ma vie pourrait être tellement différente sans ce miracle. Grâce à elle, je peux vivre mon rêve, voyager à travers le monde, jouer dans des stades pleins face aux meilleurs." (propos relayés par L’Equipe). - Le tennis, une vocation tardive Être tennisman professionnel n’a jamais été une évidence pour l’étonnant gaucher. Élevé par une famille très pauvre dans un pays où tous les enfants vivent pour le football, le tennis n’était, à l’origine, pas une vocation. Il l’avoue lui-même; le petit Thiago n’avait d’ailleurs jamais, au départ, pensé au tennis. Il se contentait de jouer au football comme tous les autres enfants de son âge. En réalité, c’est son frère qui lui a transmis le virus : "J’avais 8 ans quand mon grand frère s'est mis au tennis, juste parce qu'on était en pleine fièvre Guga (Kuerten) qui avait gagné Roland-Garros. […] J'avais mes entraînements de foot à côté du terrain de tennis où jouait mon frère. Un jour, il m'a donné une raquette pour qu'on tape ensemble. Et il a vu quelque chose en moi. […] On n'avait pas assez d'argent pour s'acheter des billets d'avion, donc il m'emmenait en voiture. Il pouvait conduire pendant vingt heures."(propos relayés par L’Equipe). - Gustavo Kuerten en mentor C’est à 14 ans que le rêve est devenu réalité pour l’actuel 118e joueur mondial. Lors d'un tournoi à Sao Paulo, il va rencontrer un ami de la famille de Kuerten qui lui proposera une place dans l’académie de Larri Passos (le coach historique de Kuerten). N’hésitant pas une seconde, le Brésilien s’envolera, seul, pour l’état de Santa Catarina. Progressant rapidement, il découvrira les moqueries, la discrimination sociale, le froid et la rivalité. Malgré tout, à force de travail acharné, il a désormais accompli l’impossible. Il vit de son talent. Si Monteiro a réussit ce rêve, c'est aussi parceque "Guga" l'accompagne depuis des années. Interrogé sur le sujet, le Brésilien expliquait en 2016 : "Guga m’a aidé pour me lancer, il m’a managé avec sa fondation. Il m’a apporté son aide, son support. C’est incroyable d’avoir son idole en conseil ! [...] Il m’a permis de trouver des sponsors comme Lacoste ou Babolat. Je lui suis tellement reconnaissant car je sais la chance que j’aie. Désormais, je peux voyager en Europe avec mon équipe et me focaliser sur mon jeu et pas le reste. Il est tellement gentil et chaleureux avec tout le monde." Ce lundi, c’est sûrement avec une pensée toute particulière pour Kuerten mais surtout pour Fatima et pour l’histoire de la cigogne qu’il rentrera sur le court pour y défier Jiri Lehecka (31e mondial) au troisième tour de ce Masters 1000 de Madrid.
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